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Devant la tour de l’horloge, l’heure est à l’émerveillement

Nous arrivons à la tour Zytglogge et vérifions l’heure : à chaque heure pleine, un fabuleux spectacle s’anime. Quelle attraction, ponctuée par le coup de marteau de Hans von Thann !

À l’invitation des spécialistes de l’éclairage de la société Lucet, notre bureau suit un parcours captivant à travers la vieille ville. À commencer par la maison des générations, puis l’hôtel de ville, la cathédrale et enfin la Tour de l’Horloge, nous nous intéressons à l’art d’éclairer de façon élégante et esthétique l’extérieur des façades de ces bâtiments historiques.

Embarquement dans la machine à remonter le temps

En compagnie de Markus Marti, maître de l’horloge depuis de nombreuses années, nous entrons dans les coulisses de la tour. Par un vieil escalier tournant en grès, nous arrivons au cœur de l’emblème de Berne. C’est ici que tourne l’heure : nous voilà face à la pièce maîtresse, le mécanisme de l’horloge. Nous observons attentivement cette ancienne mécanique en perpétuel mouvement. Le pendule balance, parfois une bobine tourne frénétiquement, puis on entend à nouveau le tic-tac familier de la mécanique.

Hans von Thann est en poste

Juste avant que l’heure soit pleine, la mécanique se met en marche. Plusieurs roues dentées de tailles différentes entrent en rotation – certaines plus vite, d’autres plus lentement. Un mécanisme déclenche la sonnerie par le jaquemart en or du nom de Hans von Thann : c’est le prodige de la Zytglogge. Une fois que les cloches ont sonné l’heure et que le jaquemart a annoncé heure suivante, seul le bruit régulier du balancier subsiste.

Puis il est temps pour nous de poursuivre la visite. Nous laissons le remarquable mécanisme derrière nous et reprenons l’ascension de la tour jusque dans les combles, où un apéritif nous attend. Quel plaisir d’ainsi contempler d’en haut la sérénité d’une soirée en ville !

Timo Stahlberg, apprenti dessinateur orientation architecture CFC

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